Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
3 décembre 2010 5 03 /12 /décembre /2010 22:22

 

Projet-36-rue-de-Belleville.jpgLa Commission du Vieux Paris vient d'examiner la demande de démolition totale d’un immeuble d’habitation dans l’ancienne commune de Belleville et le projet lauréat du concours organisé à son emplacement.

Elle a décidé à l'unanimité de vivement protester contre le processus d’élaboration de ce projet, qui postulait la démolition avant toute consultation. Elle a réaffirmé la nécessité et l’urgence d’une prise en compte du patrimoine architectural des anciennes communes suburbaines, et demandé à être  systématiquement consultée en amont des projets.

Elle a enfin souligné l’importance et la fragilité du paysage urbain de ces quartiers et la nécessité d’en conserver les fragments encore intacts. A ce titre, la rue de Belleville apparaît, dans le paysage de l’est parisien, comme l’une des plus cohérentes et des mieux conservées, dont tous les segments méritent attention.

 

Un collectif des habitants concernées vient de se créer... Il faut les soutenir : http://projet36belleville.hautetfort.com/

 

Partager cet article
Repost0
27 novembre 2010 6 27 /11 /novembre /2010 20:45

Monsieur le Maire, s'il vous plaît, revenez sur terre, quittez donc votre bureau pour vous convaincre que la réalité est différente de ce que vous décrivez. On ne peut plus croire à ce que vous affirmez, et... les scandales patrimoniaux vous rattrapent.

 

Lire l'article : http://www.latribunedelart.com/serres-daeur-tm-auteuil-les-omissions-approximations-et-contre-verites-de-bertrand-delanoe-article002885.html

Partager cet article
Repost0
23 novembre 2010 2 23 /11 /novembre /2010 10:44

Signez et faites signer la pétition en ligne, en cliquant sur la ligne ci-dessous...

 Sauvegarde du Zoo de Vincennes

 

Lire ici notre article, consacré à ce zoo en péril.

 

Partager cet article
Repost0
11 novembre 2010 4 11 /11 /novembre /2010 13:06

Lire le texte joint, en cliquant ici.

Un article paraîtra courant décembre dans notre bulletin Paris historique de décembre.

Partager cet article
Repost0
7 novembre 2010 7 07 /11 /novembre /2010 16:05

Jardin LebaudyInitiative citoyenne

Un collectif de voisins et citoyens du 15e arrondissement se bat contre un projet porté par la Mairie de Paris qui va supprimer un espace vert et enlaidir un bâtiment ancien réputé.

 

Entre la porte de Versailles et le parc Georges Brassens se trouve un petit jardin privatif, niché entre des immeubles de logement. Cet espace vert, situé à l’angle de la rue de la Saïda et du passage Dantzig, fait partie de l’ensemble d’immeubles ouvriers de la Fondation de Madame Jules Lebaudy datant de 1912 à 1919. Il se trouve également à deux pas de La Ruche, le célèbre foyer d’artistes du passage Dantzig.

Or la Fondation de Madame Jules Lebaudy, propriétaire du terrain, a décidé de détruire ce jardin pour construire un immeuble de trois et cinq étages. Le bâti envisagé est destiné à un foyer pour adultes handicapés - un projet louable qu’aucun habitant du quartier ne remet en cause. La mairie de Paris a donné son accord au permis de construire, sans consultation des riverains à propos de l’emplacement.

Ce projet est refusé par tous les amoureux du quartier.

 - Pourquoi détruire un jardin alors que des alternatives existent dans la rue même de la Saïda ? De l’autre côté de la rue de la Saïda se trouve en effet un groupe scolaire qui va être totalement reconstruit : cette refonte des écoles maternelle et primaire va libérer deux terrains.

 - Pourquoi détériorer par un bâti moderne l’architecture ancienne des immeubles Lebaudy dans un passage chargé d‘histoire, avec la cité d’artistes de la Ruche à quelques mètres ?

 

Dès l’affichage du permis de construire, la mobilisation citoyenne s’est organisée spontanément. Un blog a vu le jour en juin dernier et le collectif Dantzig Saïda s’est créé. De multiples recours gracieux ont été déposés puis un recours auprès du tribunal administratif par une copropriété du quartier. De nombreuses associations, de défense du patrimoine parisien et de la qualité de vie du quartier, soutiennent ce combat.

Le collectif été reçu par Philippe Goujon, maire du 15e puis Anne Hidalgo*, première ajointe au maire de Paris et en charge de l’urbanisme. Pourtant, malgré l’accord donné au permis, un prêt et un financement d’1M€ accordé par la Ville à ce programme, personne ne semble responsable du projet.

Les riverains ne comprennent pas comment un tel projet peut être accepté alors que la préservation de l’environnement est identifiée par toute la classe politique comme une priorité absolue. Ils ont aussi du mal à saisir pourquoi la mairie, qui vient de participer au financement de la restauration de la rotonde de la Ruche, accepte un programme qui dénature le patrimoine historique du quartier.

Quant à la Fondation de Madame Jules Lebaudy, elle avait financé partiellement la construction de l’hôpital Saint-Michel situé à 500 mètres du jardin et aujourd‘hui en cours de reconversion. N’aurait-elle pas pu demander l’accueil de ce projet ? Par ailleurs, un terrain mitoyen du jardin - entre le jardin et La Ruche - doit être transformé en onze bâtiments. Un permis de construire a été délivré en avril 2008, avec l‘accord de La Ruche. Pourquoi n’avoir pas profité de ce programme pour héberger le foyer ?

Aujourd’hui le collectif Dantzig Saïda prépare des événements forts dans le passage Dantzig pour montrer qu’il n’est pas question de décider sans concertation avec le quartier de détruire un espace vert et de dénaturer un bâtiment réputé.

 

*NDLR

- Nous avons quelques inquiétudes pour l’avenir du patrimoine parisien : Anne Hidalgo aurait l’intention de succéder à Bertrand Delanoë, maire de Paris, en 2014…

 

- Pour en savoir plus, signer la pétition et pour toute question : http://jardinsaida.over-blog.com

Partager cet article
Repost0
28 octobre 2010 4 28 /10 /octobre /2010 20:06

Serres AuteuilLe jardin des serres d'Auteuil est un jardin botanique ouvert au public, situé dans le bois de Boulogne. Il est un des quatre pôles du jardin botanique de la Ville de Paris avec le parc de Bagatelle dans le bois de Boulogne, le parc floral de Paris et l'arboretum de l'Ecole du Breuil dans le bois de Vincennes. Tous les étés, il accueille un festival de musique classique : Les solistes aux serres d'Auteuil.

 

 

En 1761, Louis XV fait construire un jardin décoré comportant des serres et de parterres de fleurs.

L'architecte en chef du service des Promenades et Plantations de la Ville de Paris, Jean Camille Formigé (1845-1926), est chargé par la ville de créer un lieu de production horticole. La construction dure de 1895 à 1898. On peut y voir une fontaine ornée du haut-relief en pierre de la Bacchanale de Jules Dalou. Le mur de soutènement des terrasses est orné de 14 mascarons en fonte galvanisée d'Auguste Rodin, fondus d'après les modèles commandés en 1878 par Davioud pour la fontaine en cascade du palais du Trocadéro.

En 1968, la construction de l'échangeur d'Auteuil et du boulevard périphérique supprima un tiers de la surface et entraîna le déménagement du Centre horticole de la Ville de Paris à Rungis et Fresnes.

 

Le jardin est organisé autour d'un vaste parterre à la française. Les cinq serres principales (la grande serre, les serres est et ouest, la serre aux palmiers et celle aux azalées) donnent sur cet espace central. Elles sont réalisées dans le style 1900 qu'on avait pu voir s'exprimer aux serres de Laeken ou au jardin d'hiver des Champs-Élysées. Les armatures de fonte, peinte dans un bleu-vert typique de l'époque, dessinent d'harmonieux vaisseaux en ogive. La grande serre est un véritable morceau de bravoure technique, puisque sa nef est divisée en trois espaces climatiques différents : un jardin tropical, chaud et humide, une palmeraie, plus sèche et enfin une orangerie, un peu moins chaude. En retrait, coupée du parterre par la grande serre, se trouve un seconde orangerie, plus traditionnelle, en meulière et en brique qui abrite les plantes en caisses qui décorent le jardin en été.

 

Dans le cadre des travaux d'extension du complexe de Roland-Garros, la municipalité et la Fédération française de Tennis envisagent de profonds remaniements du jardin. L'orangerie et d'autres bâtiments classés seraient désaffectés pour être convertis en espace de réception, tandis que les serres non classées seraient détruites, mettant ainsi fin à une tradition scientifique et pédagogique séculaire sur ce site. Un stade de trois à sept mille places serait construit à leur place. Ce projet est tout simplement inacceptable.

(Sources : Wikipedia)

 

Signez la pétition : http://www.petitions24.net/serresdauteuil

 

Partager cet article
Repost0
14 octobre 2010 4 14 /10 /octobre /2010 12:38

Extrait de la Tribune de l'art :

En 2000-2002, l’Assistance publique a vendu l’hôpital Laënnec au promoteur immobilier Cogedim associé financièrement aux assurances AGF. Depuis, cette dernière société (aujourd’hui appelée Allianz) en est devenue propriétaire, la Cogedim étant désormais maîtrise d’ouvrage. Une opération financière complexe mais qui devrait s’avérer juteuse pour les deux partenaires.

Lisez la suite en cliquant ici ; cette opération "vaut son pesant d'or", au détriment évidement de l'intérêt général et du patrimoine national...

Partager cet article
Repost0
8 octobre 2010 5 08 /10 /octobre /2010 21:42

Miramion.jpgAlerte : des travaux menés à la hâte et dans le plus grand désordre à l'hôtel de Miramion !

Attribué à François Mansart, c’est l’hôtel particulier où est installé le musée de l’Assistance publique (AP-HP), depuis son ouverture en 1934.

L'AP-HP semble actuellement en grande difficulté. On parle d’un plan de retour à l'équilibre et de restructurations menées au pas de charge suscitant bien des oppositions et dont le musée fait les frais. Sans aucune concertation avec les instances de la Culture (le musée a le statut de « Musée de France »), il a été décidé cet été de le fermer et de le reconvertir en partie en « espace événementiel », à des fins évidemment plus rentables.

Des travaux programmés à la hâte, sans même prendre le soin d’en confier la maîtrise d’œuvre à un architecte compétent et de s’assurer l’assistance et les conseils de l'architecte-conseil du Service des musées de France, ont commencé. Les services déconcentrés de la Culture, immédiatement alertés sur ces projets, se sont déclarés « incompétents », car les espaces concernés par ces travaux ne sont pas ceux qui ont été protégés en 1926, au titre des monuments historiques (façades sur cour et jardin, plafond aux poutres peintes de l'une des salles du rez-de-chaussée sont inscrits à l'inventaire).

De source sûre nous savons que l’AP-HP s’inquiète (!) toujours – ET C’EST LE COMBLE - des usages qui allaient pouvoir être faits de ces espaces qu’elle a pourtant fait réhabiliter et de leurs besoins en matière d'aménagements et d'équipements. On sait ainsi qu’une société, choisie pour installer l’équipement audiovisuel, a constaté que le matériel nécessitait de nouveaux câblages spécifiques qui imposent de rouvrir des saignées dans les murs (ils venaient d'être rebouchés !).

La préparation et l'organisation de ce chantier sont proches de la caricature, voire de l’incompétence et du vandalisme, et il est à craindre que l’avenir nous réserve encore des surprises… tout aussi scandaleuses. Il est vraiment temps que nos instances compétentes (nous ne les citerons pas, car tout le monde les connaît) réagissent et remplissent leurs missions, on ne leur demande rien de plus.

 

Petit rappel de ces missions, entre autres :

Conseillent les maîtres d'ouvrage publics dans l'élaboration et la réalisation de leurs projets architecturaux.

Participent à l'application des législations concernant les monuments historiques, les sites et les ZPPAUP. Ils sont habilités à proposer toutes mesures de protection au titre de ces législations et, le cas échéant, d'instruire ces mesures.

Contribuent à l'instruction des projets d'aménagement ou de travaux qui intéressent les abords d'un monument historique, un site protégé.

Emettent, dans le cadre des lois et règlements en vigueur, des avis du point de vue architectural sur les demandes d'autorisation de construire ou de lotir.

L'architecte des Bâtiments de France, quant à lui, possède des missions propres, en tant que garant du patrimoine. Il est conservateur des monuments historiques d'Etat, il détermine et dirige les travaux d'entretien des édifices classés au titre des monuments historiques.

 

D'autres informations sur le site adamap.fr

Partager cet article
Repost0
8 octobre 2010 5 08 /10 /octobre /2010 15:46

Zoo de VincennesUn ensemble architectural et paysager unique : le zoo de vincennes

 

Le zoo de Vincennes, aménagé de 1932 à 1934 sur une surface de près de 15 hectares au cœur du bois du même nom, est fermé au public depuis 2008. Il est depuis peu gravement menacé par un projet « d’embellissement », consistant en une démolition complète, à l’exception notable du « grand rocher ». Restauré en 1994-1997, celui-ci est un totem bien connu des Parisiens. Un tel projet, lancé d’évidence avec les meilleures intentions, signe la méconnaissance complète de la valeur exceptionnelle de ce patrimoine paysager, créé il y a 70 ans à peine.

Le zoo est l’œuvre d’un grand architecte parisien, Charles Letrosne (1868-1939), qui a beaucoup construit durant l’entre-deux-guerres, tant à Paris qu’à Reims, Noyon ou Vichy. Figure marquante du mouvement régionaliste, attentif aux sites et aux paysages culturels, Letrosne a rompu à Vincennes avec l’ancien système qui, comme au Jardin des Plantes de Paris, utilisait pour enfermer les animaux sauvages une architecture raffinée de fabriques, nourrie de citations classiques. Pour la première fois à cette échelle, il a en effet imposé le procédé inventé en 1907 pour le zoo de Hambourg par Carl Hagenbeck : une série de rochers artificiels en béton, formant à la fois des loges et des refuges entourés de fossés, où les bêtes étaient vues sans barreaux, ni cages. Sculptant le paysage avec le béton comme un démiurge, Letrosne a ainsi créé un ensemble unique dans l’architecture parisienne, ensemble qui connut un immense succès en raison de la proximité visuelle et physique nouvelle qu’offrait, sans aucun danger, cette mise en scène des animaux.

Le signal le plus spectaculaire de cet ensemble demeure le grand rocher, qui culmine à 65 mètres et qui abritait à l’origine deux citernes d’eau destinées au zoo, tout en offrant une terrasse panoramique en sommet. Avec sa structure de poutres piranésiennes et sa peau de quelques centimètres d’épaisseur seulement, c’est une époustouflante réalisation, tant technique que plastique. Conservé dans le projet actuel, ce chef-d’œuvre ne se comprend pourtant pas sans les autres rochers, qui lui donnent son échelle et comportent tous, comme le rocher aux singes voisin, des dispositifs performants en terme de paysage et de pittoresque. Quand tant de progrès dans l’approche des sites culturels ont été faits depuis un demi-siècle, comment peut-on encore envisager le patrimoine comme une sélection des « beaux morceaux » au détriment d’une logique d’ensemble ?

Fragiles, mal entretenus, aujourd’hui laissés à l’abandon, ces rochers de béton, véritables incunables de l’art paysager moderne, nécessitent des restaurations, comme le parc avec ses plantations mérite d’être repris. Faut-il pour autant réfléchir avec le bulldozer ?

Au moment où l’architecture de béton, avec les plus fameuses œuvres de Le Corbusier, Le Havre de Perret (patrimoine mondial), le Royan de Guillaume Gillet ou la Halle Freyssinet à Paris dans le 13e, a trouvé ses lettres de noblesse et participe pleinement de l’héritage bâti français. Raser le zoo de Vincennes serait anéantir un ensemble unique qui a sa place dans cette longue histoire. Cette amputation en entraînerait d’ailleurs une autre : depuis l’Antiquité et Platon, le rocher et la grotte constituent un des thèmes majeurs de la pensée occidental. Avec les nymphées de la Renaissance italienne, par les faux rochers des jardins des Lumières et d’Hubert Robert, en passant par le facteur Cheval et les décors de cinéma du XXe siècle, les rochers de Vincennes occupent une place singulière dans l’imaginaire poétique de notre temps.

 

Partager cet article
Repost0
7 septembre 2010 2 07 /09 /septembre /2010 23:39

à diffuser largement à l'occasion des journées européennes du patrimoine 2010.

 

Paris historique se réjouit cette année encore du grand succès que rencontreront, en Île-de-France et à Paris, les 27e Journées européennes du patrimoine.

Comme chaque année, ce sont des millions de passionnés et d’amateurs d’histoire, d’architecture et de traditions séculaires qui arpenteront les chemins de nos villes et villages pour admirer sites et monuments que nos associations ont la tâche de préserver, de restaurer et tout simplement de faire vivre au goût et au rythme de notre temps.

 

Il ne s’agit pas pour autant ici de crier victoire et de s’autosatisfaire des résultats obtenus. En 2010, encore et souvent, de nombreux propriétaires publics ou privés décident la destruction ou la « reconstruction » de nombreux joyaux dignes eux aussi d’une reconnaissance générale.

 

C’est à Paris, Prague, Budapest, Bucarest, Stuttgart notamment, et dans toute l’Europe plus généralement, que disparaissent ou vont bientôt disparaître des sites et des pans entiers de nos villes au profit d’opérations économiques non pertinentes, voire d’intérêts bassement personnels.

Pour ne citer que quelques cas :

- le quartier juif de Budapest,

- des îlots entiers à l’intérieur du parcellaire historique du cœur de Prague,

- la ville de Bucarest où ne s’applique plus aucune règle sérieuse d’urbanisme,

- la démolition de la gare de Stuttgart,

- et ici à Paris la destruction scandaleuse de l’îlot (ateliers et bassin des carènes notamment) construit par les frères Perret boulevard Victor, l’avenir incertain - malgré les annonces rassurantes -, de l’hôtel de la Marine place de la Concorde, et toutes les rénovations abusives et tolérées des hôtels particuliers du Marais et du faubourg Saint-Germain, entre autres.

 

Nous profitons donc de ces journées de célébration de notre patrimoine pour rappeler que la situation se dégrade et qu’il est aujourd’hui réellement urgent que l’opinion publique européenne, comme dans les années 60, au moment de la création des secteurs sauvegardés en France, réagisse et fasse connaître son désaccord profond sur la politique ou plutôt la non-politique actuelle de préservation de notre mémoire.

 

Nous demandons que le Parlement européen se saisisse de ces dossiers importants et vote une loi exemplaire, supra-nationale, prenant en compte la sauvegarde et la mise en valeur du patrimoine, dans cette époque où la situation, notamment économique, est particulièrement difficile, et où trop d’arguments « de nécessité », trop souvent hasardeux et illégitimes, tendent à reléguer la défense des patrimoines nationaux au second plan, voire à la contester.

Des informations et une pétition en ligne sont accessibles sur le site : www.patrimoine-heritage.eu

 

Nous comptons sur votre soutien.

 

Pierre Housieaux

Président

Paris, septembre 2010

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog de Paris historique
  • : Sauv'dernière est le blog de l'association pour la Sauvegarde et la Mise en valeur du Paris historique. Il publie l'actualité de la défense du patrimoine de tous les quartiers parisiens et des communes d'Ile-de-France...
  • Contact

Profil

  • Paris historique
  • Entreprendre et mener toute action permettant de promouvoir, protéger et faire connaître les quartiers de Paris et des communes d'Ile-de-France, afin de faire reconnaître et de sauvegarder leur harmonie architecturale, urbaine et sociologique.
  • Entreprendre et mener toute action permettant de promouvoir, protéger et faire connaître les quartiers de Paris et des communes d'Ile-de-France, afin de faire reconnaître et de sauvegarder leur harmonie architecturale, urbaine et sociologique.

A l'enseigne de l'Ours

Saissisez Votre Mot-Clé

Le cellier d'Ourscamp

On En Parle Beaucoup...